Il faut beau et je laisse le soleil me chauffer la peau.
Je repense à la discussion avec un ex, devenu un ami
Que j’ai eu au tél jeudi
Il a essayé avec ses mots
De m’aider, un placebo.
« Et quand tu fais l’amour, tu te révèles vraiment
Telle que tu es
Sans fausse perversion
Sans fausse pudeur
Avec tes complexes et tes formes.
Tu es toi, entière, soumise, à la merci, ouverte.
Les femmes aiment séduire pour avoir confiance,
Tu es tout le contraire.
Et quand tu cèdes, c’est tout simplement
Un autre monde, magique et différent.
photo personnelle
Car c’est quand tu es attachée, tu es enfin libre ».
Je souris, paye mon café,
Retiens mes larmes, reprends ma route,
Regarde l’horizon comme une promesse.
Un jour peut-être,
Un homme viendra
Pour m’enlever à mes chaines quotidiennes
Et me dire :
« Laisse-toi m’aller
Laisse-moi t’aller
Et t’attacher
Pour que tu sois enfin libre »
photo internet
La solitude ne s'apprivoise pas de liberté, c'est un mensonge. Pas plus qu'elle ne se lie, ni ne s'attache. Il faut accepter tout abandon, sans retour possible. Il faut savoir qui l'on est, ou se trouve notre place. L'évidence, l'absolu deviennent des mots galvaudés par trop de sachant. Pas facile de s'y retrouver.
RépondreSupprimerL'amour bdsm n'est pas celui des vanilles, et c'est en ça qu'il est irremplaçable.
oui et il faut aussi savoir faire ses armes ...pour savoir qui on est
RépondreSupprimerLa vie n'est elle pas en charge de nous éduquer du sujet ?
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