Pour
certains c’est un geste pieux,
moi je suis une véritable athée
Dans ma vie
publique, ma fierté (mal placée ?)
m’empêche de me courber
photo du net
Je cède, je flanche,
je rampe à vos désirs, soumise sans rougir.
Rester à vos
pieds et attendre sans chercher à comprendre si viendra le mot ou le geste.
Ne penser à
rien, laisser ses responsabilités aux vestiaires et se laisser faire.
Devant vous
et à votre merci, différemment je suis.
L’acte de
soumission est mêlé de passion.
Je courbe
l’échine, deviens une figurine.
A vos ordres
je me transforme, à jamais concubine.
photo du net
Je suis ce
que vous faites de moi et ça me met dans de doux émois.
Me dominer
n’est pas aisé, je sais.
Je dois pour
cela céder à vos avances,
Être sûre de
votre confiance.
Et surtout
vous chérir d’un amour fou,
Pour vous
adorer à genoux.
C'est un minimum en effet.
RépondreSupprimersourires...
RépondreSupprimerLa nature blessée d'un être, ne tient pas au fait qu'elle soit à vif, et à genoux.
RépondreSupprimerMais bien au contraire, qu'elle ne l'y soit pas.