mercredi 30 mai 2018
expression 5 : tailler une pipe
Depuis quelques temps je prends des cours de perfectionnement en anglais. disons que j'essaie d'améliorer la pratiques des langues étrangères. Evidemment discuter de ce sujet avec un homme ... et l conversation dévie, et amène au questionnement sur mes compétences en langue ...
et là je me pose à moi-même la question : suis je bonne en langue ?
Forcément, pour réfléchir à la question, je prends un café et une cigarette et en regardant la fumée s'élever ... d'une idée à une autre ... mais d'où vient cette expression : tailler une pipe !
lundi 28 mai 2018
lundi 21 mai 2018
mercredi 16 mai 2018
X
dimanche 13 mai 2018
En corps
J'en veux encore
Encore et en corps
Des bouches qui se lèchent, des mains qui se cherchent
Encore et en corps
La peau vibrante et se sentir vivante
Encore et en corps
Des flux et reflux, l'abandon absolu
mercredi 9 mai 2018
lieu de fantasmes
Bien sûr j'aime à la nuit tombée être embrassée,caressée et jupe retroussée sous les proches, être plaquée contre les pierres d'une ruelle, ...
Mais il y a un lieu par chez moi qui me fascine un peu plus
La première fois que j'y suis allée, avec une amie, elle m'a fait faire quelque chose de spécial (et pas du tout physique), un truc qui vient des tripes et qui remue....
Mai ce n'est pas le sujet
Pour arriver à cet endroit, il faut aimer marcher et .. dans la boue, mes chaussures s'en souviennent. ça vaut pourtant le détour
vendredi 4 mai 2018
laisser du temps autant
6 semaines, j’ai
réussi à tenir 6 semaines et ce soir c’est fini.
Envie d’être avec un homme, un vrai, un mensch… qui ne sait
pas conjuguer le verbe paraître, qui est dans l’être et sait ce qu’est le don sans
exiger de retour, qui applique l’estime de soi sans égocentrisme, qui aime les
mystères et avoue ses secrets. Un qui me fait vibrer sous ls cordes de mes
émotions acérées
Aller à Etretat et
avancer jusqu’au bord des falaises. Sentir son bras qui me tient la
taille. Réussir pas à pas à m’approcher. Entendre son souffle calme dans mes oreilles.
Avoir les jambes qui flageolent, les tripes qui me remuent. Regarder le vide
en bas, ce vide qui me donne le vertige et m’attire, me happe. Toucher son
corps fort dans mon dos. Et pour une fois ne pas avoir de faire le grand bond
en avant, être en confiance et admirer le paysage
6 semaines pas d’affilé. Mon corps n’aurait pas tenu, quelques jours
par semaines, horaires aménagés.
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