lundi 23 avril 2018

docteur (mâle) maison



image perso ... je blague!


Il me demande de me déshabiller, entièrement rajoute-t-il. Je suis là nue, debout, devant ces murs blancs et froid, la chair de poule ou la peur … il me dit de m’asseoir sur son siège spécial. Sans un mot il me tâte, me palpe, pénètre mes chairs, me fouille. Je cherche où accrocher mon regard, où voyager mes pensées et je vois le cadre. Je déchiffre le diplôme anglais et je pense ….
Au docteur House, que voulez-vous, j’aime les grands hommes …

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Autre spécialiste, autre cabinet ; il me demande de garder seulement ma culotte et de m’allonger sur le ventre. Il s’excuse pour ses mains froides tout en les posant sur ma nuque, mon dos. Il touche, il tâtonne. Il commence à appuyer et le geste de trop… mon corps décolle, je hurle. Des courants électriques se diffusent dans tous mes membres qui bougent sans que je puisse les commander. La douleur intenable me transperce. Je me retrouve en larmes en position fœtal, incapable de parler, de bouger, les yeux ouverts. Au loin j’entends des gens parler. Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé. Le spécialiste s’approche de moi et me propose de m’aider à e lever. Il arrive à me mettre debout, mes bras et mains sont paralysés. Lentement avec douceur, il me rhabille. Mes larmes tombent sur lui et le carrelage. Quand enfin la douleur reste supportable, il me fait asseoir et nous parlons de l’opération. Il me demande si je veux une canne pour m’aider à marcher jusque ma voiture. Je lui réponds que je veux celle du docteur House
Que voulez-vous, j’aime le charme anglais

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Semaine dernière aux urgences, prise en charge rapidement par le bon service. Un interne arrive et me fait les premiers soins. Une infirmière vient pour me faire l’admission, dans la personne à prévenir. Je demande si je peux marquer Docteur house. L’interne me fait un clin d’œil et me dit que je suis une femme de gout, d’habitude c’est plutôt Georges Clooney
Que voulez-vous J’aime l’humour second degré du docteur House, !

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Demain visite dite de contrôle : encore des mains qui vont me triturer, des yeux qui vont me scruter, ma pudeur et ma fierté oubliées. Alors plutôt que  de chercher pourquoi je dois continuer à lutter,  j’essaierai de m’évader comme dans mes nuits insomniaques.  Je penserai fort …
Au docteur House. Que voulez-vous j’aime les hommes cyniques et touchants. Il me demande de me déshabiller, entièrement rajoute-t-il. Je suis là nue, debout, devant ces murs blancs et froid, la chair de poule ou la peur … il me dit de m’asseoir sur son siège spécial. Sans un mot il me tâte, me palpe, pénètre mes chairs, me fouille. Je cherche où accrocher mon regard, où voyager mes pensées et je vois le cadre. Je déchiffre le diplôme anglais et je pense ….
Au docteur House, que voulez-vous, j’aime les grands hommes …

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Autre spécialiste, autre cabinet ; il me demande de garder seulement ma culotte et de m’allonger sur le ventre. Il s’excuse pour ses mains froides tout en les posant sur ma nuque, mon dos. Il touche, il tâtonne. Il commence à appuyer et le geste de trop… mon corps décolle, je hurle. Des courants électriques se diffusent dans tous mes membres qui bougent sans que je puisse les commander. La douleur intenable me transperce. Je me retrouve en larmes en position fœtal, incapable de parler, de bouger, les yeux ouverts. Au loin j’entends des gens parler. Je ne sais pas combien de temps s’est écoulé. Le spécialiste s’approche de moi et me propose de m’aider à e lever. Il arrive à me mettre debout, mes bras et mains sont paralysés. Lentement avec douceur, il me rhabille. Mes larmes tombent sur lui et le carrelage. Quand enfin la douleur reste supportable, il me fait asseoir et nous parlons de l’opération. Il me demande si je veux une canne pour m’aider à marcher jusque ma voiture. Je lui réponds que je veux celle du docteur House
Que voulez-vous, j’aime le charme anglais

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Semaine dernière aux urgences, prise en charge rapidement par le bon service. Un interne arrive et me fait les premiers soins. Une infirmière vient pour me faire l’admission, dans la personne à prévenir. Je demande si je peux marquer Docteur house. L’interne me fait un clin d’œil et me dit que je suis une femme de gout, d’habitude c’est plutôt Georges Clooney
Que voulez-vous J’aime l’humour second degré du docteur House, j’ai bon goût !

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Demain visite dite de contrôle : encore des mains qui vont me triturer, des yeux qui vont me scruter, ma pudeur et ma fierté oubliées. Alors plutôt que  de chercher pourquoi je dois continuer à lutter,  j’essaierai de m’évader comme dans mes nuits insomniaques.  Je penserai fort …
Au docteur House. Que voulez-vous j’aime les hommes cyniques et touchants et celui là en particulier !

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