image perso ... je blague!
Il me demande de me déshabiller, entièrement rajoute-t-il.
Je suis là nue, debout, devant ces murs blancs et froid, la chair de poule ou
la peur … il me dit de m’asseoir sur son siège spécial. Sans un mot il me tâte,
me palpe, pénètre mes chairs, me fouille. Je cherche où accrocher mon regard,
où voyager mes pensées et je vois le cadre. Je déchiffre le diplôme anglais et
je pense ….
Au docteur House, que voulez-vous, j’aime les grands hommes
…
________________________________________________________________
Autre spécialiste, autre cabinet ; il me demande de
garder seulement ma culotte et de m’allonger sur le ventre. Il s’excuse pour
ses mains froides tout en les posant sur ma nuque, mon dos. Il touche, il
tâtonne. Il commence à appuyer et le geste de trop… mon corps décolle, je
hurle. Des courants électriques se diffusent dans tous mes membres qui bougent
sans que je puisse les commander. La douleur intenable me transperce. Je me
retrouve en larmes en position fœtal, incapable de parler, de bouger, les yeux
ouverts. Au loin j’entends des gens parler. Je ne sais pas combien de temps
s’est écoulé. Le spécialiste s’approche de moi et me propose de m’aider à e
lever. Il arrive à me mettre debout, mes bras et mains sont paralysés.
Lentement avec douceur, il me rhabille. Mes larmes tombent sur lui et le
carrelage. Quand enfin la douleur reste supportable, il me fait asseoir et nous
parlons de l’opération. Il me demande si je veux une canne pour m’aider à
marcher jusque ma voiture. Je lui réponds que je veux celle du docteur House
Que voulez-vous, j’aime le charme anglais
____________________________________________________________________
Semaine dernière aux urgences, prise en charge rapidement
par le bon service. Un interne arrive et me fait les premiers soins. Une
infirmière vient pour me faire l’admission, dans la personne à prévenir. Je
demande si je peux marquer Docteur house. L’interne me fait un clin d’œil et me
dit que je suis une femme de gout, d’habitude c’est plutôt Georges Clooney
Que voulez-vous J’aime l’humour second degré du docteur
House, !
___________________________________________________________________
Demain visite dite de contrôle : encore des mains qui
vont me triturer, des yeux qui vont me scruter, ma pudeur et ma fierté
oubliées. Alors plutôt que de chercher
pourquoi je dois continuer à lutter, j’essaierai de m’évader comme dans mes nuits
insomniaques. Je penserai fort …
Au docteur House. Que voulez-vous j’aime les hommes cyniques
et touchants. Il me demande de me déshabiller, entièrement rajoute-t-il.
Je suis là nue, debout, devant ces murs blancs et froid, la chair de poule ou
la peur … il me dit de m’asseoir sur son siège spécial. Sans un mot il me tâte,
me palpe, pénètre mes chairs, me fouille. Je cherche où accrocher mon regard,
où voyager mes pensées et je vois le cadre. Je déchiffre le diplôme anglais et
je pense ….
Au docteur House, que voulez-vous, j’aime les grands hommes
…
________________________________________________________________
Autre spécialiste, autre cabinet ; il me demande de
garder seulement ma culotte et de m’allonger sur le ventre. Il s’excuse pour
ses mains froides tout en les posant sur ma nuque, mon dos. Il touche, il
tâtonne. Il commence à appuyer et le geste de trop… mon corps décolle, je
hurle. Des courants électriques se diffusent dans tous mes membres qui bougent
sans que je puisse les commander. La douleur intenable me transperce. Je me
retrouve en larmes en position fœtal, incapable de parler, de bouger, les yeux
ouverts. Au loin j’entends des gens parler. Je ne sais pas combien de temps
s’est écoulé. Le spécialiste s’approche de moi et me propose de m’aider à e
lever. Il arrive à me mettre debout, mes bras et mains sont paralysés.
Lentement avec douceur, il me rhabille. Mes larmes tombent sur lui et le
carrelage. Quand enfin la douleur reste supportable, il me fait asseoir et nous
parlons de l’opération. Il me demande si je veux une canne pour m’aider à
marcher jusque ma voiture. Je lui réponds que je veux celle du docteur House
Que voulez-vous, j’aime le charme anglais
____________________________________________________________________
Semaine dernière aux urgences, prise en charge rapidement
par le bon service. Un interne arrive et me fait les premiers soins. Une
infirmière vient pour me faire l’admission, dans la personne à prévenir. Je
demande si je peux marquer Docteur house. L’interne me fait un clin d’œil et me
dit que je suis une femme de gout, d’habitude c’est plutôt Georges Clooney
Que voulez-vous J’aime l’humour second degré du docteur
House, j’ai bon goût !
___________________________________________________________________
Demain visite dite de contrôle : encore des mains qui
vont me triturer, des yeux qui vont me scruter, ma pudeur et ma fierté
oubliées. Alors plutôt que de chercher
pourquoi je dois continuer à lutter, j’essaierai de m’évader comme dans mes nuits
insomniaques. Je penserai fort …
Au docteur House. Que voulez-vous j’aime les hommes cyniques
et touchants et celui là en particulier !
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