dimanche 22 juillet 2018

une nouvelle



une fois n'est pas coutume, ceci est un récit fictif , une nouvelle construite de fait divers sous la chaleur de l'été ... (toute ressemblance... blablabla)

Il était là dans ce lit d'enfant à tourner en rond. un lit d'enfant,de petite fille avec ces bords en fer forgé et cette moustiquaire qui venu du plafond enveloppait l'ensemble.
Il avait passé une agréable soirée avec cette femme. Il avait bien vu quelques signes pendant le dîner qui lui avait permis de comprendre qu'elle n'était pas du tout indifférente à lui. Cependant il n'avait fait aucun geste.  Ces quelques heures ensemble, c'était juste pour se rencontrer enfin. Leurs situations respectives ne permettaient pas plus. Ils avaient longuement dans ce monde virtuel évoqué leurs vies, leurs envies. Il lui avait dit qu'il aimait être étonné, il ne s'attendait pas à ce genre de surprise. De passage, il était convenu qu'il dorme chez elle, mais il ne s’attendait pas à ce qu'elle le laisse dans la chambre d'enfant. Il devait essayer de s'endormir.



Il entendit du bruit, supposa qu'elle allait aux toilettes. La porte de sa chambre s'ouvrit en grand. La lumière tamisée venait du couleur, il distingua juste sa silhouette. Il s redressa un peu, juste pour la voir laisser glisser son kimono et se rapprocha. Il vit qu'elle avait plusieurs choses dans ses mains. elle prit d'abord des boules Quies qu’elle mit dans ses oreilles, puis les menottes et en attacha une à son poignet.  Elle avança encore jusqu'à être à ses cotés, posa une bouteille d'huile de massage et une rose sur la table de nuit. Elle prit enfin le bandeau et le noua à ses yeux. Toujours sans un mot, elle chemina jusqu'au lit, leva le drap et vint se glisser contre lui. Il ne bougea pas, ne dit rien, juste profiter de la chaleur de son corps. Il sentit sa main glisser de la jambe et remonter doucement à son torse, ses seins se presser à son bras, sa bouche venir se poser dans le creux de son cou.

Il tourna la tête et l'enfouit dans ses cheveux, et plongea ses lèvres et descendit de l'oreille à son épaule, douceur de la peau, odeur de femme incomparable. Elle mit sa main sur la nuque, lui fouilla dans ses cheveux et leurs bouches se rencontrèrent.  Leurs langues se reconnurent, avides comme si elles avaient besoin d'étancher leur soif commune. Ils s’étreignaient, leurs mains s’accrochèrent, se pressèrent comme si elles voulaient se souder pour toujours. il se pencha vers elle, ses épaules, ses clavicules. Elle laissa aller sa tête en arrière, dressant sa poitrine qu'il prit à pleines mains, à pleine bouche. Il l'entendit gémir, la sentit s'accrocher à ses épaules comme s'ils traversaient une tempête.

Ils continuèrent à se caresser. Elle chercha sa poitrine à lui, la toucha, l’effleura, la lécha. Il la contemplait dans la pénombre tandis qu'elle descendait vers son nombril, y passant doucement sa langue. Elle arriva vers son vit dur, tendu. Elle l'enveloppa de ses lèvres, doucement, prit le temps de le découvrir. Puis elle glissa sa bouche avec fougue, avidité. Sa langue l'affolait et il ferma les yeux pour mieux profiter de l'instant. De sa main, il caressait ses cuisses à elle, scandant le même mouvement. Elle se retira lentement et toujours de dos se mis à califourchon sur lui. Elle éleva et laissa sa tige rigide frôler sa caverne . Doucement, très lentement elle glissa son membre en elle, appuyant de ses mains sur ses cuisses. Elle l'enserrait, il la pénétrait ainsi ne voyant que son dos et ses fesses tandis qu'elle remuait, qu'elle se balançai sur lui. Et puis, elle s’arrêta, passa ses mains sur sa nuque, souleva sa chevelure tout en exerçant une pression de ses cuisses. Elle laissa retomber ses cheveux, posa ses mains sur sa tête, les menottes pendant à sa main gauche. Elle ne bougeait plus, l'attendait.

Alors il se souleva un peu, elle l’aidât, prit ses deux mains et les mis devant ses seins qu'il ne put s’empêcher de caresser au passage. Il passa la menotte libre sur son autre poignet. Délicatement, il la pencha et l'allongea sur le dos. Elle était là, offerte, sourde et aveugle à sa disposition, excitée et attente. Il savait que maintenant il devait se servir du toucher, du gout de l'odorat. Il attrapa la bouteille d'huile de massage,  la nuit ne faisait que commencer...





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