vendredi 25 août 2023

Queue du bonheur

 

A la demande non générale et après la vulve je m’attaque à la verge (enfin façon de parler ^^)
Même si j’ai vu, touché et autres plus de verge que de vulve, je vais rester factuelle sur le sujet (donc non je ne citerai pas de nom (et ne ferai aucune comparaison... d’ailleurs je n’en ai jamais fait, j’ai horreur de ça)

 

Alors d’abord de quoi se compose le pénis ? j’en ai appris des choses, par exemple que chez la plupart des animaux il y a un os pour aider à la pénétration. Le pénis humain lui est constitué de 2 corps caverneux et au milieu un corps spongieux. C’est l’afflux de sang venant de l’excitation qui provoque l’érection.

La longueur d’une verge au repos est d’en moyenne 9,16 cm (étude de 2015) et en érection de 13,12 cm (13 ?46 chez les Français). Les pénis sont de chair ou de sang : de chair, la taille change très peu à l’érection ; de sang, elle peut doubler de volume (la majorité des hommes)

 

Il y a 7 formes de pénis

-          Le concombre : aussi épais à la base qu’au bout. Il peut aller jusqu’à 20 cm en érection, un diamètre de moyen à important

-          La saucisse : le plus courant, un peu moins grand que le concombre, de taille moyenne aussi épais à la base qu’au bout avec l’épaisseur uniforme

-          Le crayon : long et fin avec un gland étroit, ce qui est un atout car il peut adopter toutes les positions sexuelles

-          La banane : il a une légère courbe vers la gauche ou la droite, un atout car il apporte beaucoup de plaisir lors de la pénétration (dixit les sites internet) car peut atteindre le point G (la forme la plus rare 10 à 20% des hommes)

-          Le poivron : court et très épais sur toute la longueur

-          Le cône de glace : vous voyez un cône et 2 boules ? vous retournez et vous avez l’image : un rétrécissement à la pointe

-          Le marteau (ou champignon) : mince à la base et épais au niveau du gland d’où l’intérêt des préliminaires pour le début du passage (20% des hommes)

 

Alors oui il y a la taille, la forme, le diamètre, ... et finalement le plus important n’est il pas de savoir bien s’en servir ? de trouver le fourreau idéal, celui qui colle parfaitement où la pénétration devient alchimie, fusion qui monte jusqu’à l’âme, là où dans cet accouplement les deux corps ne deviennent qu’un et s’élèvent ensemble en osmose orgasmique. Car malgré la classification, chaque pénis est unique et différent, chaque homme est unique

 





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