Il y a des lieux qui envoutent
Des pierres qui plissent le temps, taillées acérées ou
murets
Elles invitent à la contemplation
Les poutres centenaires rassurent de leur force tranquille
Les portes sont de celles qu’on caresse avant d’ouvrir
Les plats glissent sur les pavés
L’œil observe, surprend, et englobe chaque détail
Sur les murs de géant, des petits tableaux et des toiles immenses
se partagent l’espace
Ils emportent dans les « mécaniques célestes » l’âme
lunaire
Tandis que la batterie et la basse font vibrer mon corps, le
silence mélodieux de l’espace berce mon cœur
Il y a des lieux dont on tombe amoureux
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