Au silence, l'étang latent
Le brouillard s'étend
Lentement
A la corne de brume
Gémissant le vent
Glissant le frisson naissant
Rafraichissant
J'ai rêvé de toi cette nuit
Avant le matin méfiant
Froissant mes draps complaisants
J'ai soif d'océan
Et d'écume m'enveloppant
Insolence de l'étang à l'aube
RépondreSupprimerSourire ... et ce n'est qu'à l'aube quand tout dort encore
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