Elle avait presque réussi à l’oublier
Parfois elle y pensait
Souvent elle s’en fichait
C’est du passé !
Il avait eu sur elle une telle domination
Une emprise néfaste et manipulatrice
Qui avait laissé des cicatrices
Elle avait repris sa vie en main jouissant
De bonheur, pleurant de chagrin
Touchant la légèreté
En vie, en vibration
Sournois il attendait son heure
Pour venir attaquer son corps
Facteur farceur
Ironie du 1er avril
Il parait que les gens normaux
Crient hurlent se soulent
Quand les mauvaises nouvelles s’esbroufent en poussière
Aux rayons du soleil
Pas elle
Elle a envie de douceur et d’explosion
D’éclats de rire et d’être prise dans les bras
Et maintenant on fait quoi ?
Poussons plus loin l’analyse…
« Tu penses à quoi ?
-
A quelques heures du vendredi, trouver une phrase
culte à mettre dans les annales. Après tout, ce n’est pas demain la veille que
je vais tester la sensibilité et réceptivité de me faire titiller le téton
Elle prend son sac à dos
Son appareil photo
Pour aller faire des clichés
Surtout pas de crabes !
Entre vents et marées
Heureusement la plage est à moins de 10 km
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